vendredi 27 janvier 2012

sex in the comics


A l'occasion du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême se déroulant du 26 au 29 janvier, Arte explore samedi 28 janvier les relations entre sexe et BD en conviant Maruo, Manara, Crumb, Zep et autres Pilcher à dévoiler leurs sources d'inspirations coquines.

La réalisatrice Joëlle Oosterlinck s'est adjointe d'un guide en la personne de Molly Crabapple. Cette jeune artiste new-yorkaise s'est glissée dans la peau d'une exploratrice d'un art qu'elle maîtrise parfaitement, avec un style très "victorien tendance trash" comme elle le définit elle-même. On est pas fan mais bon.

Source lemonde.fr

news

Los Angeles a adopté début janvier un texte imposant le port obligatoire du préservatif sur les tournages de films X, devenant la première ville américaine à légiférer sur le sujet. La municipalité a ainsi pris les devants, après que l’association Aids Healthcare Foundation (AHF) eut annoncé en fin d’année avoir réuni les signatures nécessaires pour soumettre à référendum, en juin, un texte imposant le port du préservatif dans le porno. En 2004, 2010 et 2011, les tournages avaient dû être suspendus plusieurs semaines car des acteurs ont découvert qu’ils étaient séropositifs. Selon le bureau des tournages de Los Angeles, Film LA, environ 5 % des 45 500 jours de tournages autorisés chaque année dans la ville concernent des films X.

megaupload

"Avec la fermeture de MegaUpload, je ne pouvais pas vous (les internautes) laisser sans porno. Aussi, j’ai décidé de passer toutes ces vidéos à 2 euros!"

Message philanthropique de Marc Dorcel pape du X tricolore faisant de la retape pour ses derniers titres, dont Grosses Bites pour petites chattes 3, On a échangé nos mères 2 et Ma patronne a le feu au cul (1, a priori).

mama mia

kate for prada





Rien a y redire, le shooting Prada dans le dernier numéro du W magazine est réussi. Le styliste Alex White, les photographes Mert & Marcus, le top Kate Moss. Elle est canon, ils sont doués, Encore adhère et pourtant n'aime pas spécialement les magazines féminins.

mouaich mouaich...wait & see


Voilà quelques saisons déjà que le Crazy Horse, fondé en 1951 par Alain Bernardin, cherche à renouveler son style et sa clientèle en faisant appel à la collaboration de personnalités artistiques extérieures pour créer de nouvelles revues...
Et franchement ce n'est pas une grande réussite, Encore préférait de loin le "tradi" Crazy.

Après avoir fait monter sur ses planches Dita Von Teese, Arielle Dombasle ou Clotilde Courau, après avoir sollicité les talents du chorégraphe Philippe Decouflé et de l’Iranien Ali Mahdavi, le cabaret parisien a annoncé une collaboration avec le très adéquat Christian Louboutin, fameux chausseur parisien qui connaît un succès rouge et foudroyant autour du globe.

A partir du 4 mars, associé à la chorégraphe Patricia Folly, il signera quatre tableaux effeuillés inédits, mis en musique par des créations originales de David Lynch et Swizz Beatz, ou sur la reprise d’un tube de Natacha Atlas.

mercredi 25 janvier 2012

plaisir d'offrir #4

killers


Hier Lille, ce soir Paris, no comment, ces types là sont des très très bons. Vivement d'autres live. Final lettres de feu et boule à facettes, Encore adore.

mardi 24 janvier 2012

entrelacs



Au printemps dernier, l'artiste touche-à-tout et dissident Ai Weiwei, qui ne ménage pas ses critiques contre le Parti communiste chinois est arreté et l'affaire éclate, le fisc chinois lui réclame 15 millions de yuans (environ 2,4 millions de dollars), au titre d'impôts impayés et d'amendes dues par l'entreprise pour laquelle il travaille. Une mesure selon lui destinée à le "briser".

Grâce à la mobilisation de 30.000 Chinois, il avait ensuite pu verser la garantie nécessaire pour interjeter appel de ce redressement. L'élan de solidarité autour de Ai Weiwei s'est poursuivi. Alors qu'il fait désormais l'objet d'une enquête pour pornographie pour d'anciennes photos où on le voit dénudé et entouré de quatre femmes également dévêtues, des partisans de l'artiste ont choisi de manifester leur solidarité envers le célèbre dissident en posant eux-mêmes nus sur Internet.

Les autorités fiscales de Pékin ont prévenu début janvier Ai Weiwei qu'elles acceptaient cet appel, a indiqué Me Pu, qui a dit espérer qu'elles reverraient leur copie avec équité.
Ai avait été détenu dans un lieu inconnu de début avril à fin juin 2011, ce qui avait soulevé une vague d'indignation à travers le monde. Il vit depuis sous surveillance, sans pouvoir quitter Pékin.

"Si nous ne sommes pas satisfaits des résultats, nous pouvons saisir la justice", a déclaré à l'AFP Pu Zhiqiang, un avocat qui défend les intérêts de la société Fake Cultural Development, fondée par Ai mais enregistrée au nom de sa femme.

Toujours est-il que la France l'exposera au jeu de paume du 21 février au 29 avril 2012.
"Ai Weiwei : Entrelacs” est la première grande exposition en France consacrée à cet artiste et homme de communication qui observe l’état du monde, l’analyse et tisse des liens avec ses semblables par de multiples canaux.

En revanche, Uffe Elbaek, ministre de la Culture danois, a été convoqué par le Parlement de son pays parce qu’il n’a pas voulu rencontrer l’artiste lors de son voyage en Chine. Une rencontre problématique puisque l’artiste est actuellement poursuivi par l’État chinois.

Le ministre danois de la Culture était venu en Chine en voyage officiel pour promouvoir le dialogue entre les deux gouvernements et tenter d’établir un programme d’échange culturel. Il a rencontré de nombreux artistes importants mais aurait "omis" Ai Weiwei, représentant majeur de la scène artistique internationale.

Accusé par ses détracteurs d’avoir ignoré l’importance fondamentale des droits de l’homme pour ne pas offenser ses hôtes, il a été invité à s’expliquer devant le Parlement danois. Bien qu’il avoue dans un journal national que "si vous voulez un vrai dialogue, vous devez rester respectueux envers les gens qui vous invitent", Uffe Elbaek affirme que jamais la délégation danoise n’avait évoqué un entretien avec Ai Weiwei.

Elbaek assure également que la question des droits de l’homme a été évoquée lors d’une réunion avec le vice-ministre de la Culture Yang Zhijin. Ayant par ailleurs dialogué avec de nombreux artistes, il affirme qu’ils ne craignaient pas les sujets sensibles, et n’avaient pas peur de critiquer leur gouvernement.

dimanche 22 janvier 2012

look


Directed by Mrzyk & Moriceau. Sont résolument très forts ces deux là.

encore loves carpet

vendredi 20 janvier 2012

tuca tuca


...mi piacci ah ah...tanto tanto...

the loo


Au Crazy Horse tout est beau même les toilettes. On apprécie tout particulièrement le papier peint et les lunettes côte à côte.

lundi 9 janvier 2012

hepi new year

la dame aux camélias


Le théâtre de l'Odéon revisite la Dame aux Camélias d'après une œuvre d'Alexandre Dumas fils et des fragments de textes de Georges Bataille. Habitué à la censure, Frank Castorf, qui propose cette version, est connu pour ses mises en scène choc. Cette fois il revisite la Dame aux Camélias, célèbre histoire d'amour entre une courtisane et un jeune bourgeois. Cette version, déconseillée au moins de 16 ans, s'intéresse particulièrement au personnage féminin et à son rejet des lois patriarcales.

L'individualisme bourgeois moderne a des racines qui sont romantiques. Avec Kean, Frank Castorf vient d'en explorer un premier versant, masculin : tout au long du mémorable spectacle qu’il présenta l'an dernier à l'Odéon, le héros divinisé et déraciné, interprète shakespearien hors pair, flottait librement entre sa classe d'origine et le grand monde qui le tolérait sans l'adopter. Cette saison, Castorf passe d'un mythe à l'autre – de Dumas père à Dumas fils, de Kean à Marguerite Gautier, du comédien absolu à la fille entretenue. Et aussi – le fait est assez rare pour être noté – d'une troupe allemande à une équipe de brillants interprètes français, dont Jean- Damien Barbin et Jeanne Balibar.
Mais de quelle Dame aux camélias s'agira-t-il ? La question n'est pas vaine. Castorf, ironiste versatile et engagé, n'a pas son pareil pour revisiter les classiques et en tirer les dissonances les plus provocatrices. L'enfant terrible de la RDA, qui a grandi au rythme de la contre- culture rock américaine et des films de Fellini, Godard, Wajda, Truffaut ou Kubrick, s'est distingué dès ses premiers spectacles : jugés incorrects par la censure, ils sont retirés de l’affiche. À l’issue d’un procès contre les autorités dont il sort gagnant, il est expédié à Anklam, au fin fond du pays ; il peut y monter Heiner Müller, Artaud, Brecht et Shakespeare, mais les autorités veillent toujours sur lui, et il est remercié en 1985. Peu après la chute du Mur, il prend la tête de la Volksbühne, mais ne s'est toujours pas assagi pour autant, montant Sartre, Dostoïevski,Houellebecq, Döblin, Boulgakov, Tennessee Williams, Pitigrilli, Andersen, imposant à chaque fois ses visions iconoclastes. Par quel biais va-t-il donc approcher la légendaire Marguerite Gautier ? Son histoire, dès l'origine, n'a cessé d'être reprise, retravaillée : Alexandre Dumas fils lui-même revoit et corrige son texte de 1848, puis en signe l'adaptation théâtrale en 1852 ; un an plus tard, c'est la création de La Traviata à la Fenice de Venise, mais c'est à partir de mai 1854 que Marguerite, devenue Violetta par la grâce de Piave et Verdi, devient définitivement un mythe (auquel Barthes consacre d'ailleurs quelques pages de ses Mythologies). Chemin faisant, son triste destin a perdu en charge provocatrice ce qu'il a peut-être gagné en délicatesse lyrique. Mais Castorf s'intéresse davantage à la version première, romanesque, et aux dimensions sociales d'une intrigue où éclate insolemment la liberté d'une femme se moquant de la morale, dominant ses partenaires, revendiquant son indépendance – bref, menaçant l'ordre établi et ses piliers que sont la famille et la loi patriarcales. Ce n'est donc pas le mélodrame, mais le roman qui fournira à Frank Castorf son matériau de base, et qui lui permettra de rendre à Marguerite, par delà La Traviata, toute sa troublante et dangereuse puissance critique.

A lire La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils.

Source theatre-odeon.fr

Au Théâtre de l'Odéon du 07 Janvier au 04 Février 2012.

dimanche 8 janvier 2012

lipstick



En 1945, la célèbre photographe Nina Leen, l'une des premières photographes femme ayant réalisé des reportages pour le magazine Life, réalise cette jolie série ou comment choisir judicieusement sa couleur de rouges à lèvres. Encore loves lipstick comme vous le savez, alors comment ne pas aimer cette série.

samedi 7 janvier 2012

PIP


Dans le dossier des prothèses PIP, Jean-Claude Mas, l'ancien patron de la société Poly Implant Prothèse (PIP) reconnaît et assume la fraude. Tandis que le nombre de cas recensés s'alourdit dans le monde entier.

ute klein







resonanzgeflechte – leibhafter raum

vendredi 6 janvier 2012

plus femme vieillit, plus femme jouit

Titre Libération ce matin.
Septième ciel . Une étude menée pendant quarante ans montre que le plaisir sexuel féminin augmente avec l’âge. Mais pas le désir.
Il faut bien quelques compensations à la vieillesse… Tout s’émousse, dit-on, le sexe comme le reste. La promesse d’atteindre davantage le septième ciel pourrait paraître incongrue. Détrompez-vous. C’est l’incroyable révélation d’un article publié dans The American Journal of Medicine.

miss magnum is gone


Eve Arnold "as an old geezer" par Ace Preston, London 2011. L'expression "vieux croûton" est ici utilisé affectueusement et tendrement, pour cette femme de talent.

girls




Eve Arnold est morte hier à Londres, dans une maison de retraite. Elle avait 99 ans. Première femme à rejoindre l’agence Magnum en 1951, l’Américaine fut une photographe légendaire, tout autant par la qualité de ses reportages que par sa ténacité, comme les photojournalistes de cet âge d’or, à être au cœur de ses sujets. Presque dans leur ombre. Comme lorsqu’elle immortalisa la fragilité transparente de Marilyn Monroe sur le tournage des Misfits, film culte de John Huston, dans un corps-à-corps d’une grande sensualité, sous la lumière surnaturelle du désert du Nevada.

"Je pensais qu’elle avait un don devant l’objectif, mais ce don s’est révélé être du génie", confiera-t-elle un jour, toujours ravie d’évoquer la mémoire de celle qui la fit connaître au grand public. Il n’y eut pas que Marilyn. Le cinéma, ses stars et leurs péchés mignons, de Joan Crawford à Elizabeth Taylor, constitueront l’un de ses thèmes préférés, car elle avait un goût certain pour la mise en scène.

Née le 21 avril 1912 à Philadelphie (Pennsylvanie), Eve Arnold est la fille d’immigrants russes (le père était rabbin), qui eurent neuf enfants. Elle prit ses premières photos en 1946 avec un Rolleicord offert par son petit ami, avant d’étudier, en 1948, à la New School for Social Research de New York sous la direction d’Alexei Brodovitch, tête chercheuse du Harper’s Bazaar. Son sujet d’études : Harlem. Qui lui vaut les félicitations de son professeur et un visa pour continuer… La reconnaissance viendra très vite, dès 1951, grâce au Picture Post qui la propulse tout en haut de l’affiche. Elle a de la chance, surtout du cran, et il en faut dans le monde si masculin de la photographie, où ses confrères, avec leurs Leica, occupent beaucoup de place.

Après son ancrage à l’agence Magnum, tout sourit à Eve Arnold, femme curieuse qui aborde de multiples sujets, de la maternité à la convention républicaine, de Mrs Kennedy à Margaret Thatcher, sans oublier son célèbre portrait de Malcolm X avec chapeau, de profil.

Poignant. Surtout, elle commence à voyager : Cuba, Chine, Afghanistan, et ne cesse d’enregistrer, ici et ailleurs, la condition humaine dans sa diversité. Les riches dans leurs voitures rutilantes. La reine Elizabeth d’Angleterre enveloppée d’un nuage bleu. Les top modèles. Le quotidien de ceux qui n’ont rien sur le dos. Comme ces deux gosses à Porto Rico, qu’elle isole en 1968. Un instant poignant et d’une grande douceur, fidèle à sa ligne de vue : ne jamais baisser les yeux sur la misère du monde.

Pourtant, Eve Arnold ne se sentait jamais vraiment satisfaite de ses photographies, comme elle le confia à Amanda Hopkinson dans le Guardian, ajoutant : "C’est la frustration qui m’a fait avancer". Mais elle sut donner à ses photographies tout ce que la vie lui avait appris : "J’ai été pauvre et j’ai voulu documenter la pauvreté ; j’ai perdu un enfant et j’étais obsédée par la naissance; j’étais intéressée par la politique et je voulais savoir comment nos vies en étaient affectées ; je suis une femme et je voulais tout savoir sur les femmes".

Marlène Dietrich au Columbia Records Recording Studios de New York, 1952.
Marilyn Monroe lisant "Ulysses" de James Joyce, Long Island, 1954.


Source libération.fr

mercredi 4 janvier 2012

SM & totempole, erotoscope, fornicon






encore loves tomi



Tomi Ungerer a 80 ans ce lundi. Pourtant, le temps ne semble pas avoir de prise sur lui: l'artiste strasbourgeois, qui vit désormais en Irlande, a un agenda de ministre et poutant, il lui arrive encore de travailler huit heures par jour à ses diverses créations. De Tomi Ungerer, tout le monde connaît ses illustrations de livres pour enfants, comme Les Trois Brigands, le Géant de Zéralda, Zloty, ou le Nuage bleu, devenus des classiques. L’autre versant et talent du dessinateur, ce sont ses livres érotiques: Erotoscope, Fornicon, Totempole...

A 80 ans, Tomi Ungerer, ne veut pas entendre parler de retraite. "Il n’y a pas d’âge tant que vous pouvez travailler. C’est quand on s’arrête de penser et de travailler qu’on devient vieux." Mais il avoue qu’il n’a "plus les capacités de concentration et d’énergie" d’autrefois. Aujourd’hui, il marche avec une canne, et a de plus perdu l’usage d’un œil, il y a sept ans. L’année 2012 sera une "sacrée année", dit-il, avec la sortie de deux long-métrages: un dessin animé adapté de son livre Jean de la Lune et un documentaire sur sa vie d'artiste réalisé par l’Américain Brad Bernstein.

Strasbourg, sa ville natale, n’est pas en reste pour commémorer son enfant terrible. Elle lui consacre une exposition intitulée "Tomi Ungerer et ses maîtres. Inspirations et dialogues" au Musée Tomi Ungerer jusqu’au 19 février. Dans la totalité du musée sont présentées environ 300 œuvres, qui mettent en exergue les connexions qu’il entretient avec l’histoire de l’art. Les différentes formes d’expression de son travail montrent en effet de nombreuses références graphiques, plastiques et cinématographiques.

Des maîtres allemands du Moyen Age et de la Renaissance (Baldung-Grien, Dürer, Holbein...) à ceux du XIXe siècle (Caspar David Friedrich), des artistes alsaciens (Hansi, Loux), jusqu’aux cartoonists anglo-saxons, en passant par les dadaïstes et le surréalistes. On y croise aussi Bellmer, Dix, Ensor... Le dramaturge Friedrich Dürrenmatt écrivait à propos d’Ungerer qu’il "n’imitait personne, mais utilisait beaucoup." Ces multiples emprunts ont aussi contribué à forger l’originalité de son art.

Né le 28 novembre 1931 à Strasbourg, Jean-Thomas (dit "Tomi") Ungerer a commencé sa carrière en 1956 quand, après ses études à l’Ecole des arts décoratifs de Strasbourg, il embarque pour New York avec 60 dollars en poche et des idées plein la tête. Il y reste quinze ans. Le succès est au rendez-vous pour cet auteur prolixe et polyvalent qui publie dès l’année suivante son premier livre pour enfants. Il est à New York l’un des dessinateurs et affichistes les plus cotés, son art du gag visuel et son goût du burlesque convenant parfaitement à l’esprit de la ville.

Tomi Ungerer, Sans titre, dessin pour "The Party", vers 1966.
Tomi Ungerer, "Viens dans mes bras", dessin inédit, vers 1975.

ready for holidays


On comprend peut-être pourquoi les enfants courent sur la plage, en zoomant sur la photo. Pour présenter un t-shirt pour garçons, La Redoute a fait poser quatre bambins dans une crique, en oubliant visiblement l'arrière plan. Or, l'outil de zoom, gracieusement mis a disposition des internautes afin de choisir ses vêtements sur le catalogue en ligne, permet surtout de faire un gros plan sur un homme qui se baigne en exposant fièrement son anatomie.

Découverte mercredi matin, la photo a rapidement fait le tour de Twitter.

Sur son compte Twitter, La Redoute à quant à elle expliqué qu'elle présentait ses excuses pour la photographie publiée sur son site et faisait le nécessaire pour la supprimer. Le service communication de la Redoute a précisé également qu'une enquête était menée en interne afin de comprendre comment cette erreur avait pu se produire...

Source next.liberation.fr

mardi 3 janvier 2012

diamonds in the rough


Encore aime ce titre on s'en doute, aime cet artiste dont on vous a présenté l'oeuvre, et se déteste d'avoir oublié l'expo.

"Si les diamants sont rares, les personnages atypiques le sont aussi".

HK art agency présente la première exposition photo de Mark Maggiori. Des centaines de milliers de views à travers le monde, son blog devenu une référence aux 4 coins de la planète.

Mark est fortement ancré et inspiré par la sous-culture Américaine, un univers "white trash" qui lui est devenu des plus familier.
Ses images, souvent brulées par le soleil, reflètent une certaine forme de marginalisation.
Sensuels, parfois sexuels, ses sujets révèlent tous une beauté rare et crue, qui les rendent d’autant plus touchant.
Ils sont posés et souvent perdus dans la poussière, délavés par la chaleur, dans des mises en scène quasi intemporelles

Fidèle à son engagement dans l'art, GROLSCH a soutenu cette exposition, et a proposé une dégustation de ses bières lors du vernissage.

C'était du vendredi 3 décembre au jeudi 8 décembre à la galerie Oberkampf, rue St Maur, on ne pouvait pas être plus près...on en rage encore.

On rappelle que Mark Maggiori est un artiste pluridisciplinaire. réalisateur (cocoon, Charlie Winston, Kyo, Brigitte et bien d'autres), photographe, peintre, écrivain. Egalement musicien, chanteur- leader du groupe de rock-metal "Pleymo"(1998-2007).
Il vous amène à plonger dans son univers à la fois réaliste et onirique.