lundi 30 avril 2012

damn!

les gaba girls bien avant les love-dolls






En 1932, Lester Gaba, sculpteur de savon, créé une ligne de mannequins grandeur nature, les "Gaba Girls", pour Best & Company. Quelques années plus tards, en 1937, Cynthia, un mannequin de plâtre, fait son apparition dans les vitrines de Saks Fifth Avenue.

Le mannequin de Lester Gaba, inspiré de la société mondaine de l’époque, a l’attitude d’une femme du monde. Cynthia est représentée assise, le coude sur les genoux avec une cigarette à la main.

Lester Gaba devient "gaga" de son mannequin

Cynthia l’accompagne partout : ballades à New York, au Stork Club (night club) ou à l’opéra. Il lui faut trois hommes pour la transporter d’un endroit à l’autre. Une telle excentricité attire l’attention de la jet set new-yorkaise. Cynthia et Lester Gaba deviennent un hit !

Cynthia devient de plus en plus réelle !

Les grands couturiers lui prêtent des vêtements, Cartier et Tiffany lui prêtent des bijoux !

Cynthia obtient un abonnement au MET (Metropolitan Opera House), fait la couverture de Life Magazine, reçoit des tonnes de courrier de fans et assiste à la représentation de Madame Bovary au Broadhurst Theater en 1939. Saks Fifth Avenue ira même jusqu’à lui délivrer une carte de crédit !!

Source Sovena.

odezenne...à suivre



"Chewing Gum", très joli clip, mais écoutez aussi "Tu pu du cu!" même si Encore flippe avec les clowns depuis toute petite déjà.
Sont doués ceux-là. Une petite pensée pour Java & Rwan.

news

1/ L'avocat du groupe punk Pussy Riot, Maître Nicolas Polozov a signalé au parquet qu'il était la cible de menaces diffusées sur Internet en liaison avec ses activités professionnelles, a fait savoir à ITAR-TASS la collègue de l'intéressé, Maître Violetta Volkova.

"Le blogueur Alexandre Samarski, le père du blogueur Micha Samarski, a promis sur Twitter" d'avoir la peau de Nicolas Polozov qui représente les intérêts des membres arrêtées du groupe punk ", a-t-elle raconté. Maître Polozov a saisi le parquet et demande vérification des faits, en joignant les textes menaçants et sollicitant que sa sécurité soit assurée.

Il y a 10 jours le Tribunal Taganskiï avait décidé de prolonger l’incarcération des membres du groupe punk-rock féministe Pussy Riot jusqu’au 24 juin.


2/Un agent de police soupçonné d'avoir saisi une responsable de l'opposition ougandaise par le sein en vue de l'arrêter, a été suspendu, a indiqué mardi le ministère ougandais de l'Intérieur, alors que l'incident a suscité une vague de protestation en Ouganda.

"Un agent a été suspendu le temps de l'enquête", a déclaré James Baba, ministre délégué aux Affaires intérieures, dans un communiqué, sans préciser si l'agent en question était un homme ou un femme.

"L'incident s'est déroulé lors de l'arrestation d'une femme suspectée de plusieurs violations du code de la route et qui a refusé de se plier aux instructions légitimes d'un agent de police. Il semble que cette dame ait subi une agression en résistant à son arrestation", poursuit le ministre dans ce texte.

Cet incident a déclenché une vague de protestations en Ouganda. Lundi, une douzaine de femmes avaient manifesté, pour certaines en soutien-gorge, en direction du principal poste de police de la capitale, pour exprimer leur colère.

"Comment est-ce que vous vous sentiriez si on vous pressait les couilles?" interrogeaient notamment, sur des pancartes, les manifestantes.

Vendredi, la télévision ougandaise avait diffusé des images montrant un agent en tenue anti-émeute saisir par un sein Ingrid Turinawe, l'une des responsables du Forum pour le changement démocratique, principal parti d'opposition, pour la faire sortir de sa voiture et l'arrêter, lors d'une tentative de manifestation de l'opposition.


3/Aux Etats-Unis, la dernière sensation littéraire est venue d'un genre peu médiatisé mais très lucratif : la littérature érotique. La trilogie de l'obscure auteure E L James, productrice de télévision anglaise reconvertie pour l'occasion dans l'écriture de textes grivois, occupe depuis des semaines le trio de tête de la liste de best-sellers établie par The New York Times : The Fifty Shades of Grey ("Cinquante nuances de gris"), et ses suites Fifty Shades Darker et Fifty Shades Freed atteignent des records de vente dans leur version papier, mais surtout sur les livres numériques.

Qualifié de "mommy porn" (porno pour maman), cette trilogie SM et coquine a été accueillie, outre-Atlantique, comme un véritable phénomène de société. Enfin, les mères au foyer n'ont plus peur de montrer leur passion pour la pornographie au grand jour. Sur Facebook, le mot s'est répandu comme une traînée de poudre : The Fifty Shades Of Grey c'est, pour la ménagère américaine, la possibilité de vivre sa libération sexuelle sans se cacher. Ou presque, puisque le roman doit surtout son succès à l'anonymat permis, en l'absence de couverture explicite, sur les livres numériques et autres eBooks.

Source lemonde.fr

lundi 16 avril 2012

autolibéré

Encore a pris une autolib' pour la première fois la semaine dernière.
Et Encore a une triple théorie à la vue du siège passager et ce dans plusieurs véhicules.
Soit ces voitures ont pour unique fin le transport de femmes enceintes perdant les eaux.
Soit ces voitures sont de véritables baisodromes, plus économiques q'une chambre d'hôtel.
Soit les français sont des porcs incontinents, mangeant salement et bavant beaucoup...
Sans avoir l'esprit mal tourné, Encore opte plutôt pour la seconde théorie et alors là un nouveau phénomène urbain est en route, c'est le cas de le dire.

miaou

more ashkan





ashkan honarvar






Encore vient de découvrir le travail de ce jeune iranien. Tout n'est pas publiable, alors allez sur son site et voyez par vous même. Ce qui est subtil est juste gracieux, on adhère. Le trash et le morbide nettement moins. Plusieurs autres séries réussies sur le site. Certes ce genre de "détournement visuel" a déjà beaucoup été utilisé, mais c'est réussi. A quand une expo à Paris, pourquoi nous n'avons pas de galerie?...

vendredi 13 avril 2012

fuck it, you win



Cela a déjà quelques mois, on connaissait Hanni El Khatib, mais Encore vient seulement de découvrir ce titre et surtout ce clip, on dit oui! Cracra comme il faut, un peu mais pas trop.

de l'underground à la genèse



Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise la première rétrospective de l’un des plus grands dessinateurs de ces cinquante dernières années : Robert Crumb. Parmi les pionniers de la bande dessinée Underground, il apparaît comme une figure mythique de la contre-culture américaine. Ses récits satiriques décapent les carcans moraux et portent un regard acéré sur la société, ses noirceurs et absurdités.

Les dessins de Robert Crumb sont apparus pour la première fois en France en 1970, grâce aux couvertures du magazine Actuel, reprises des illustrations déjà publiées aux Etats-Unis. Auteur prolifique, son oeuvre a profondément marqué le monde de la bande dessinée sur deux générations. Avec un trait souple et dense, reconnaissable entre tous, il remet en question les frontières de la bande dessinée. Crumb explore différents domaines dans ses dessins : la famille, le sexe, la musique, les hippies, l'argent, etc…-, mais sa plus grande source d’inspiration est lui-même, il n’hésite pas à se mettre à nu en relatant ses obsessions, ses relations avec les femmes et sa conception de la vie. Mais quelles que soient l’acuité et parfois la cruauté de son regard envers ces thèmes, il traite tous les sujets avec un humour très personnel.

C’est à l’âge de 7 ans que Robert Crumb commence à dessiner régulièrement. Il crée ses héros Fritz the Cat et Mr. Natural respectivement en 1959 et 1967. En 1968, en pleine explosion hippie à San Francisco, il connaît son premier succès en réalisant entièrement le premier numéro de la revue Zap. Passionné par la musique des années 1920 et 1930, il dessine de nombreux portraits de musiciens et des pochettes de disques. A partir des années 1980, il dirige la revue Weirdo et illustre des écrits de Bukowski ou Sartre. Dans les années 1990, il réalise une biographie de Kafka en collaboration avec David Zane Mairowitz et les deux recueils de dessins Art & Beauty.

Il publie en 2009 une Genèse illustrée, après quatre ans de travail. Sorti en 2011, l’album Parle-moi d’Amour, résultat d’une collaboration avec sa femme Aline depuis 1972, s’apparente à un journal intime illustré.

L’exposition, chronologique est conçue autour des obsessions de Crumb : l’amour/la haine/la peur des femmes, la musique, son regard cru sur le monde moderne et son introspection. Elle rassemble des oeuvres et des documents rares : plus de 700 dessins, des carnets de croquis consultables, plus de 200 revues Underground et le célèbre documentaire Crumb de Terry Zwigoff réalisé en 1994.

Robert Crumb, né en 1943 à Philadelphie, vit en France depuis 1991. La plupart de ses ouvrages sont édités en français par Cornélius et Denoël Graphic et en anglais chez Fantagraphics Books et W. W. Norton.

L'Amazone aux tresses & Yéti woman.
Source mam.paris.fr

Musée d'Art Moderne-paris / du 13 avril au 19 août 2012

jeudi 12 avril 2012

#6/7



#4/5





#2/3






my little dead dick








My Little Dead Dick est le pseudonyme derrière lequel Patrick Tsai et Madi Ju ont officié pendant plus d’un an, à travers un journal intime photographique spontané. Leurs photographies revisitent l’héritage d’un Walker Evans ou d’une Nan Goldin, en insufflant une bouffée d’oxygène où les paysages sont habités par des éléments insolites, où les corps sont sujets à des contorsions spectaculaires. Allez-voir leur site...de Beginnings aux Last days of Summer...on a envie d'être à deux et de voyager.

(entre)ouverture

Après 10 mois de travaux le Palais de Tokyo fait peau neuve et passe de 8 000 à 22 000m².

Du jeudi 12 avril à 20h au vendredi 13 avril à minuit, le Palais de Tokyo entrouvre exceptionnellement ses portes avant son ouverture définitive le 20 avril avec la Triennale.

A cette occasion, le Palais vous invite à découvrir les coulisses de sa métamorphose avec une programmation gratuite et ouverte à tous pendant 30 heures non-stop avec pas moins de 60 événements et de 250 intervenants.

Encore est intrigué par "Vinyl Arcade de Lucas Abela" & les photographies du couple Patrick et Madi présentez ci-dessus.

On passera demain...

jeudi 5 avril 2012

on attend le retour de l'été impatiemment






On flirte avec le mauvais goût et ça parfois, Encore peut l'apprécier voir même le revendiquer.

che cosa sei


On connaissait la version de Dalida on craque pour l'originale de Mina et Alberto Lupo. Chanson composée par Gianni Ferrio et écrite par Leo Chiosso et Giancarlo Del Re en 1972, ce tube est classé no 1 au hit-parade italien en mai 1972.

mercredi 4 avril 2012

news

Découvrez deux nouveaux dans notre rubrique "chéris" forgeard & husbands.

benoît forgeard



Découvrir les vidéos, à suivre de près...Encore ri beaucoup et c'est bien bon.

Qu'est-ce que Réussir sa vie ? "Une suite de 1 et de 0", entend-on au détour d'un dialogue. Et ce n'est pas seulement parce que le film fait un usage immodéré des technologies numériques que cette formule semble la plus à même de résumer son propos. Réussir sa vie est une oeuvre essentiellement composite, où la discontinuité tient lieu de leitmotiv, le court-circuit de fil conducteur. Le film réunit trois courts métrages - La Course nue, Belle-Ile-en-Mer et L'Antivirus -, remontés pour l'occasion et reliés les uns aux autres par des intermèdes inédits, durant lesquels le réalisateur, Benoît Forgeard, reçoit la visite de ses personnages.

Foulard de dandy et moustache de Super Mario, Forgeard avait jusqu'ici oeuvré aux confins de la télévision et de l'art contemporain - il est diplômé des Beaux-Arts de Rouen. Ici, le format désuet du film à sketches lui permet de télescoper, en un même ovni, les planètes humoristiques les plus disparates. Absurde cathodique façon Les Nuls, poésie burlesque cousine de Pierre Etaix, installations précaires à la Pierrick Sorin et répliques surréalistes fraient gaiement. La mise en scène fauchée, la récurrence des acteurs, leur diction désinvolte et ingénue harmonisant, segment après segment, le tout.

Le film progresse à l'avenant, cortège de ruptures et de permanences, de fugues et de bugs, de 1 et de 0. On coupe à tout-va - le son, les forfaits téléphoniques, l'appétit, la parole -, ou alors on s'attarde outre mesure, comme cet informaticien incompétent, dont la mission auprès d'une étudiante s'éternise des semaines durant. Des longueurs, çà et là, cohabitent avec de magnifiques ellipses, quand par exemple quelques brins d'herbe dans une baignoire suffisent à figurer la course d'une nudiste sur la pelouse du Stade de France, en pleine finale. "Réussir sa vie, c'est prendre le risque de la rater", ose Forgeard. Inégal à lui-même, son film fait partie de ces oeuvres qui, de leurs hardis ratages, tirent une complète réussite.

Source lemonde.fr

dimanche 1 avril 2012