Métaphores Proustiennes du journal : au temps perdu du nu...l'ombre des jeunes filles écoeure...well well, Libération s'égare une fois de plus.
Alors gros dégueulasse ou artiste de génie? Comment ne pas parler alors de Balthus, Nabokov, Carroll, voir même Mann, Gainsbourg et plus récemment McGinley, sans s'insurger ou admirer. A vous de voir, Encore a son opinion.
On est loin de "la mère maquerelle" Ionesco.
"Il y a la beauté de Sophia Loren, Elisabeth Taylor, et puis il y a celle de Bardot ou de Monroe. Mais la beauté classe, c'est au-dessus". No comment.
Jusqu'au 15 juin, rétrospective à l'hôtel Scribe de Paris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire